Leonard Cohen était le poète de l’âme humaine. Sa voix résonnait au plus profond de nous.
Ses paroles et ses musiques tentaient de cerner le mystère de notre existence. Il était une lumière dans nos ténèbres.
Il y a quelques temps, il avait écrit à sa muse Marianne, décédée d’un cancer au mois de juillet, qu’il la rejoindrait au bout du chemin.
Le voilà rendu à son plus beau rendez-vous. Les voilà, réunis. Paix à leurs âmes.
Il terminait sa lettre à sa douce en écrivant: < Au revoir, mon amour éternel.>
À nous maintenant de lui dire: Au revoir, notre poète éternel.
J’offre mes condoléances à sa famille, à ses proches et à ses millions de fans.
maxlachance
12 novembre 2016
03h16
See you soon… (i hope)
Un petit coin de paradis a partager
Dans ce monde sans sobrieter
Je ne peux effleurer
Ce que cette ame ma voler
ysengrimus
12 novembre 2016
06h22
Nancy White a bien capturé l’émotion des filles le concernant…
https://ysengrimus.wordpress.com/2016/11/11/leonard-cohen-ne-fera-jamais-mon-epicerie-pour-moi-nancy-white/
Touchant et hilarant…
Paul Laurendeau
montrealaise
12 novembre 2016
13h10
Leonard Cohen fait partie de l’ADN de Montréal et vice-versa.
Sans Montréal, Cohen n’aurait pas été la même personne.
Sans Cohen, Montréal ne serait pas la même ville.
Oui, Leonard,
“Vous reviendrez à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
Vous reviendrez à Montréal
Vous marier avec l’hiver
Vous marier avec l’hiver” (Emprunté à Charlebois)
Adieu Leonard Cohen.
montrealaise
12 novembre 2016
13h12
Il aurait été préférable que j’écrive…
“Vous êtes revenu à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
Vous êtes revenu à Montréal
Vous marier avec l’hiver
Vous marier avec l’hiver” (Emprunté à Charlebois)
rosablue
12 novembre 2016
20h58
Je relis ce qu’il a écrit à sa muse après sa mort et ça me bouleverse. Les pires romantiques de ce monde lui jalousent sa prose…
Tu es parti trop tôt Léonard. Tellement trop tôt.
youbablue
13 novembre 2016
16h29
Au delà de toutes les fleurs qu’on se plaît à lui lancer, j’aurais aimé que parfois, juste parfois, Monsieur Cohen daigne écrire ou chanter quelques mots en français, ne serait-ce que pour nous prouver qu’il avait remarqué que nous existions nous aussi, les francophones. Il faut croire que c’était trop demander ou espérer. Dommage…
ouimais
13 novembre 2016
19h01
Ben oui mon youbablue! Vigneault a ben composé ‘I went to the market’…
youbablue
13 novembre 2016
21h11
@ouimais qui dit: “Vigneault a ben (sic) composé ‘I went to the market’…”
Eh oui, mon cher Ouimais, en composant cette chanson, notre barde national a manifesté un souci de reconnaissance envers les anglophones que Leonard Cohen, du haut de sa superbe, nous a toujours refusé. Libre à vous de vous en réjouir.
charlev
15 novembre 2016
19h12
Rendu au bout de mon chemin, j’aurais aimé avoir le talent d’écrire l’ode à sa muse pour ma blonde.
Yack
21 novembre 2016
15h16
@ youbablue ~
Cohen a chanté LA MANIC de Georges Dor en 2012/2013.
On la retrouve sur l’album “Can’t Forget: A Souvenir of the Grand Tour” (2015)
et on peut l’écouter sur You Tube…
Et dans un documentaire filmé en 1979, Cohen écoute une vieille version
de la chanson *Un canadien errant* qu’il traduit en anglais au fur et à mesure.
Yack
25 novembre 2016
12h31
quatre jours en attente de modération… ((soupirs))
fournierlouis
26 novembre 2016
14h47
Il a chanté en français “Un Canadien errant “. On trouve facilement l’enregistrement sur YouTube.
augustine11
31 décembre 2016
08h41
CÉ QUI LEONARD COHEN