Ma critique est en ligne, libre à vous d’y aller de vos propres commentaires sur le concert donné au Centre Bell, vendredi soir.
Parmi les 11 398 spectateurs présents au Centre Bell pour le concert Neil Young et Crazy Horse, on imagine que certains ont déploré la rugosité acquise du monument. D’autres auront applaudi la vivacité du vieux scorpion, qui défend son nouveau matériel et sa façon de faire sans compromis aucun. Qui ne regarde pas derrière, à moins de conjuguer son glorieux passé au… présent.
Plus de deux heures sur scène et… 13 chansons ! Comment expliquer ce petit nombre pour une si longue prestation ? La réponse se trouve dans Psychedelic Pill, récent album de 87 minutes et 41 secondes où l’homme de 67 ans reprend du service avec Crazy Horse, son fidèle garage band (étable band?) et dont il offre des chansons émaillées de longs grooves et ambitieuses impros recouvertes de distorsion, réverbération, crépitements, déflagrations. Vendredi soir, chansons neuves et vieilles étaient ainsi déclinées sauf exceptions.
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